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| Aizen Enoki {Terminer} | |
| | Auteur | Message |
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Aizen Enoki
Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 01/08/2009
| Sujet: Aizen Enoki {Terminer} Sam 1 Aoû - 3:28 | |
| ~ Personnage ~
Nom : Enoki
Prénom : Aizen
Âge : 22 ans
Grade choisi : Chuunin voir Juunin
Village : Suna
Orientation Sexuelle : Hétéro
Affinités ninja : Raiton / Mokuton
Description Physique :
Pour commencer parlons de son visage. Il est plutôt allongé, et on peut voir une bouche fine où se trouve, de temps à autres, une cigarette. Il a les cheveux mi-longs d’un noir bleuté et des yeux jaunes (il porte des lentilles) d’une pureté sans pareil. Son œil droit et accompagné d’une cicatrice, assez banale. Des yeux légèrement en amandes, de fins sourcils tout comme ses cils, et un nez droit. Maintenant abordons son allure. Aizen est un homme d’1m85 environ pour 73 kilos. Bien sur ce n'est pas une brindille, il est assez musclé et virile. Disons qu’il a appris à avoir une musculation assez bien proportionnée et un corps pouvant servir au combat. Il a des abdominaux assez développés. Son pas est souple, animal par excellence. Une noblesse émane de lui sans même qu’il n’y face aujourd’hui attention. Lorsqu'on le voit, on ne peut qu'admirer son charisme, sa noblesse, sa façon d'être froid et intouchable. Il a ce petit genre je-m'en-foutiste, bien qu'il soit tout à fait le contraire de par l'aura dangereuse, et écrasante qui émane de lui. Et pour finir parlons des ses vêtements. Il porte de nombreux bracelets de cuir à pointes et un collier qui lui enserre le cou. Des chevalières lui enserrent le pouce droit et le majeur gauche. Et depuis assez longtemps il porte divers piercings à l'oreille droite. Il est charismatique dans ses gestes et dans le ton qu’il emploie pour parler. Il porte souvent des pantalons, des jeans, et des chemises, souvent noires, laissant apparaître ses pectoraux. Il se balade toujours avec une épée en argent dans la main droite qu’il n’hésite pas à utiliser, que se soit pour exécuter une technique ou juste pour couper un membre à quelqu’un. La lame est émoussé, et le manche très détérioré. Elle ne possède pas d’étui, de toute façon ça serait inutiles, il ne la range jamais. Elle est ornée de ses initiale, "A.E" qu’il à gravé lui même avec un couteau...
Description mentale :
Aizen à un caractère très particulier, selon les jours, les humeurs, et les personnes qu’ils côtois, il peut être très différent. Tout d’abord avant de pouvoir s’entendre avec lui il faut pouvoir l’approcher. En effet ce jeune homme se cache sous une carapace de glace, il est tout simplement glacial aux premiers abords et s’énerve pour un rien quand on vient le voir. C’est un énorme chieur, un emmerdeur, quelqu’un qui ne vit que pour saouler et plus encore. Il adore ça. Tourner autour d’une personne, répéter sans arrêt la même chose juste pour gonfler les gens. Ouais, ouais... Il adore se retrouver dans des situations comique qui lui donne l’impression d’être un parasite qu’on a qu’une envie : l’écraser. Il s’incruste, un véritable chewing-gum trop collant un jour de grosse chaleur !! Pourquoi il aime ça ? Vous faire suer, trembler de haine et de rage... C’est si FUN. Si, si il n’y a que pour ça qu’il le fait et rien d’autre. En plus, si ça peut partir en bagarre c’est cool et cela l’arrange grandement ! Il est aussi particulièrement franc, se délectant souvent de la réaction de son interlocuteur. Il aime beaucoup faire remarquer les défauts des autres, surtout quand il ne les apprécie pas. Il n'est ni loyal ni fidèle, sauf à lui-même…Autant dire qu’il est effrayant. Pourtant si on arrive à lui tenir tête et à le supporter dans les premiers instants, il devient un garçon très extraverti, joyeux... Il fera preuve de gentillesse avec les personnes qu'il juge dignes de son intérêt, ce qui, face à son caractère, est très rare. Il ne se lie pas facilement d’amitié avec quelqu’un mais lorsqu’il y parvient il est très confiant, et c’est un ami formidable sur qui on peut compter, il lui arrive même de rigoler sans trace de moquerie. En dehors de ces aspects de sa personne, Aizen est quelqu'un de réalisme qui aime l'efficacité et la persévérance. Il n'abandonne jamais même s'il sait que c'est une cause désespéré, il fait toujours tout pour obtenir ce qu'il veut, et ce, quelque soit le moyen utilisé pour parvenir à son résultat et le temps qu'il lui faut, bien que moins c'est long, mieux c'est mais il faut tout de même qu'il y est un certain challenge, sinon c'est beaucoup moins amusant... Oui, il est compliqué.
Histoire :
Plus bas ==>
Autre : R.A.S
~ Vous ~
Comment avez vous connu le forum : Google -_-' Première impression : Beau graphique Autre : R.A.S
Dernière édition par Aizen Enoki le Mar 4 Aoû - 1:10, édité 15 fois | |
| | | togehana hoshinokami
Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 17/05/2009
| Sujet: Re: Aizen Enoki {Terminer} Sam 1 Aoû - 14:14 | |
| je te conseil quand même de travailler la description physique c'est important et la tu bâclé un peut donne au moins quelque adjectif pour décrire son allures c'est un simple conseil
a et le grade ninja c'est important
à très vite bizou | |
| | | Ayane Geko
Nombre de messages : 949 Date d'inscription : 18/03/2009 Age : 31
| Sujet: Re: Aizen Enoki {Terminer} Dim 2 Aoû - 15:59 | |
| Pour au moins avoir le grade de Chuunin ou même Juunin, ta présentation doit être presque parfaite...
Car pour l'instant je ne peux que t'accorder le grade de gennin^^
Bonne chance.
Ayane. | |
| | | Aizen Enoki
Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 01/08/2009
| Sujet: Re: Aizen Enoki {Terminer} Dim 2 Aoû - 19:09 | |
| Histoire :
Chapitre 1 : Le mal est fait :
Gémissements, cri perçant, naissance.
« Un magnifique garçon ! Déjà robuste comme son père ! »
Ah qu’il était fière en cet instant le patriarche de la famille, dans un coin, pendant que son fils et sa femme rayonnait de bonheur autours du lit d’une clinique publique, qu’il était fière de savoir que la lignée continuerait après lui, que la famille s’agrandirait et deviendrait de plus en plus puissante. Il était tellement fière que ses sourcils pourtant d’habitude si froncés se déridèrent un peu et que la mince ligne qui lui servait de bouche s’incurvait un peu. Il avait pourtant la réputation d’être intraitable et irascible. Comme quoi, tout arrive.
« Poussez-vous ! Je sens une deuxième contraction, il y’en a un autre, il y’en a un autre ! »
De la joie, de l’étonnement, tout cela passa à al colère et l’appréhension. Un deuxième ?! Non, ce n’était pas possible ! Des jumeaux ? Surtout pas ! Il ne fallait pas ! Qu’il s’étouffe avec son cordon ombilical, que l’infirmière le laisse tombé, que ses poumons soient atrophiés et qu’il meure en s’étouffant ! Tout mais il ne fallait pas qu’il vive ! La ruine sur sa famille, le désastre, il allait échouer dans ce qu’il avait entreprit ! Ses ancêtres le renierait, lui qui avait laissé périr la famille… Et finalement il serait commençant à errer sans fin sur cette terre…. Maudit. Il n’en laisserait pas faire cette immondice ! Il en laisserait pas ce tas de chair ruiner sa vie, ce petit corps affreusement laid lui volé l’œuvre de sa vie ! S’avançant d’un air décidé, il s’arrêta d’étonnement… Un silence étrange régnait sur la pièce… Un silence ?! Mais bon dieu, c’était impossible, un enfant, lorsqu’il née, il crie, il pleure, il reçoit en lui la vie… Mais lui, il était là, en plein milieu de la salle, regardant de haut ses occupants, ses yeux gris glaçant tout le monde, l’arrêtant dans son geste… Un démon… Il n’aurait pas fallut qu’il sorte de sa mère… Et bientôt, la ruine… La Sage-femme tourne de l’œil, elle semble effrayé, tétanisée, paralysée par ce petit corps fragile… l’autres infirmière réussit à prendre l’enfant et le mettre en couveuse… « Et ce fut le début de la décadence. »
Chapitre 2 : L’enfant au masque :
Il est de commune croyance que des jumeaux portent malheur… Souvent, avant, on tuait de pareille « monstruosité » de la nature, on les faisait disparaître de la nature puis priait les dieux d’être bien indulgent envers ceux qui avaient pareillement offensés la nature… Mais, le grand père voulait à tout prix avoir une descendance et il ne lui était pas permit de faire disparaître les deux enfants. Il prit donc une décision qui changea à jamais le destin d’un enfant, qui changea à jamais le destin d’une famille. L’abject être qui avait pris la forme d’un enfant et qui était sortit en second comme pour narguer et détruire son bonheur ne devrait plus revoir la lumière du jour. Il fût enfermé dans l’une des innombrables caves de la demeure principale et il veillerait à ce que l’enfant soit isolé, enfermé, qu’il souffre tout en cachant son visage au jugement des dieux et ses serviteurs, personne ne devait connaître son existence. Une goutte après l’autre, une flaque se crée… Peu à peu, la flaque devint fleuve le fleuve, un lac et pour finir, un océan… Goutte après goutte, la rancœur se déversait peu à peu dans son esprit… Immobile, dans cette pièce sombre, un gardien devant sa porte… Le noir, noir complet… Il ne comprenait pas, il essayait pourtant de comprendre ce qu’il avait fait, pourquoi ce masque pourtant si doux lui faisait tellement mal au cœur et pourquoi ne pouvait-il pas voir le jour… Il en avait pleuré, crier, il s’était écorché à frapper sur les murs… Ses mains saignait tout les jours, il ne savait plus quoi faire… Alors, comme si cela s’imposait logiquement à son esprit, il ferma son cœur et ses sentiments moururent, enfin presque… Gardés dans un coffre fort dont son conscient n’avait même plus la clef, seul la colère semblait encore présente… Cette soif de revanche, cette envie de tous les voir périr, là haut. Il se passa des années, des années ou il apprit à se diriger dans le noir, à se muscler, s’entraîner encore et toujours, frapper contre l’épaisse paroi de bois qui le séparer de la liberté… | |
| | | Aizen Enoki
Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 01/08/2009
| Sujet: Re: Aizen Enoki {Terminer} Dim 2 Aoû - 19:09 | |
| Chapitre 3 : Le Réveil :
« Je suis enfermé ici depuis trop longtemps, je suis enfermé ici depuis trop longtemps… Mon esprit réclame liberté, mon corps, vengeance, cette famille va payer, cette famille va connaître le malheur et la douleur, et à la fin, je serais là, debout, les narguant par mon existence, qu’il soit maudit… »
Les ninjas, voilà ce qui les effrayer le plus, la seul chose contre laquelle il ne pourrait lutter. Et voilà qu’une dizaine d’assassin vinrent frapper à la porte de leur demeure, détruisant tout sur leur passage, et tuant toute les personnes qu’ils croisèrent. Le seule survivant de cet effroyable moment n’était autres qu’Aizen, qui était resté dans ça cellule et qui n’avait rien remarqué.
" L’obscurité est la meilleur des chaînes. L’esprit, la meilleur des prisons "
Elle l’entoure, le dévore entièrement, l’enfant qui se tient au centre de cette cellule, allongé, dormant les poings fermés. Quel destin cruel lui a-t-on joué encore ? Que va devenir un jeune homme habité par une haine grandissante et dépourvu de tout le reste ? Un enfant qui à mûrit trop vite, un enfant en proie à un monde barbare et sans scrupule… Un enfant chassé, enfermé, renié, tout cela par sa naissance et pour les délires superstitieux d’un vieil homme décharné et à l’esprit étriqué… Un vieillard sénile qui maintenant baigne de son sang… La vie est souvent affreuse, le destin souvent odieux et sans pitié aucune, regardez, il n’aura même pas le droit à sa propre vengeance. Mais taisez vous et observez, l’enfant aux yeux d’or s’éveille du long repos conféré par Morphée…
Encore une nuit à cauchemarder, encore une nuit à ne savoir que faire devant cette voix qui l’assassine et l’enferme dans l’oublie. Encore un réveil en sursaut, à se demander si cette vie n’est qu’un rêve, s’il s’éveille vraiment ou s’il ne fait qu’imaginer tout cela, enfermé dans un songe affreux, victime d’une quelconque maladie le plongeant dans un coma fiévreux et peupler d’effrois. Sa main effleure le sol, sa main sent toutes les aspérités qui le composent, fait le tour de toutes ses irrégularités, ce toucher améliorer par la cécité forcé dans laquelle il est plongé… Cette mains fébrile qui se rappel avoir touché une centaine de fois cette partie de sa cellule et qui regrette avec force son emprisonnement, qui réveil la haine qui lui fait mal au ventre et créer cette boule dans sa poitrine. Ses sourcils se froncent sous son masque de soie. Une main passe dans ses cheveux blonds sec et sales, cheveux qui l’insupportent, lui qui aime tellement tout ce qui est doux, tout ce qui est le contraire de sa vie… Le voile de la haine passe sur son esprit et il se lève d’un bond souple, presque félin… Ses cheveux suivent les mouvements, ces cheveux qui lui arrivent aux hanches, des cheveux qui n’ont jamais été coupés en seize ans… Tellement il était insupportable à la famille de le toucher… Lui parler aussi était honteux et proscrit. Il aurait du devenir un bête analphabète et sans jugement mais c’était sans compter son esprit affûté et son génie… oui, Aizen était un surdoué, il avait une capacité d’analyse effrayante et un esprit si vif qu’il pouvait apprendre tellement vite que les brefs paroles qu’échangeait le garde avec son supérieur et ses plaintes de se voir reléguer à un tel poste lui avait suffit à connaître la parole… Enfin, il avait un vocabulaire plutôt simple, une prononciation affreuse et un parler irrégulier. On peut dire que son langage correspondait à celui d’un enfant de dix ans.
Il était débout, au centre de la pièce. Se laissant envahir par l’obscurité, il laissa les sons l’envahir et le trépignement du garde derrière l’épaisse porte en bois qui garde ce qui était pris pour l’être le plus dangereux… celui qui détruirait la famille. Mais ce fût par leurs actes qu’ils se virent détruits.
« Au final, c’était un matin comme les autres »
Avec grâce, sa main attrapa le plateau à moitié renversé que le garde avait posé là la veille. A chaque fois qu’il touchait ce bois de mauvaise qualité, il avait envie de rire, croyaient-ils que le trou qui avait été fait en face de sa bouche laissait la place pour un aliment solide quel qu’il soit ? Non, il ne pouvait que boire l’eau dans la petit tasse en faïence qui accompagné le pain rassis sur la tablette. Après deux longue gorgées, il mit le récipient près des dix autres, cette petite resserve pour toute la journée et au cas où ils oublieraient de lui descendre son plateau le soir. Son estomac gronda et ils e força à calmer les suppliques de son subconscient… il savait très bien qu’il n’avait pas de quoi réellement le satisfaire et qu’il ne pourrait pas aujourd’hui non plus. Mais ce jour là, quelque chose clochait. Ce n’était pas le fait que la fête battait son plein non, il connaissait ses bruits qui l’accompagnaient… C’était plutôt un silence dérangeant… Un silence inhabituel en ce jour. Et puis son instinct lui disait que les choses ne se déroulaient pas comme prévu… Même les bruits de pas du garde avaient cessés, lui qui d ‘habitude faisait les cent pas car il ne pouvait s’emplir la panse au buffet, comme les autres membres du personnel. Il décida alors d’avancer son plan, lui qui voulait attendre que le soleil tape moins sur la peau de son coup par la petite fenêtre tout en haut de la geôle.
*Action…*
Son petit poing tapa de toutes ses forces sur le panneau de bois le retenant. Idiot ? SI vous saviez, non. Son but n’était pas à proprement parler de défoncer la porte, non. Son plan était de réussir à faire un trou de la taille de sa main à côté de la serrure et de réussir à ouvrir cette fichue porte de l’extérieur grâce à la petit pierre qu’il avait récupéré sur le mur. Son poing s’écrasa une troisième fois sur la porte et les anciennes entailles se trouvant sur celle-ci se ré-ouvrirent, imbibant largement la porte de son sang, son poing ne stoppa pas. Sa volonté était plus forte que la douleur. Douleur insipide face au besoin de liberté qui lui broyait les tripes. La colère agissant de couple avec l’adrénaline pour atténuer ce qui restait. Une dixième fois, son poing frappa dans le vide… Tirant de toutes ses forces, il décoinça son poignet bloqué dans le petit trou fait par cette frêle petite main. Prenant le caillou qu’il avait décroché la veille du mur de sa cellule, il l’introduit dans la cellule et débloqua le mécanisme. Il allait enfin pouvoir sortir de cette maudite salle ! Il allait pouvoir les tuer ! Les faire souffrir petit à petit, sans se presser, les laissant le supplier comme ils l’avaient laissé espérer de la pitié. Il bloqua un petit grognement de plaisir qui voulait s’extrader de sa gorge pour marquer son contentement, son esprit glacial avait repris le dessus… Même si le garde ne semblait pas là, il devait faire vite. Mais une question semble vous venir à l’esprit… Comment faire pour vaincre ces adultes ? Ils étaient grands et en pleine formes, lui petits et presque sans force…
« On ne peut frapper un ennemi que l'on pense défait, on ne peut se prévenir d'un ennemi dont on ne soupçonne pas l'existence. C'est acculée que la bête frappe pour tuer, c'est en silence qu'elle bondit sur sa proie »
Restait le problème du masque. Il n’avait vu qu’une seule fois faire le vieillard et c’était là la partie la plus difficile de son plan. IL avait vu le patriarche lui enlevé un jour car il avait frappé tellement fort les murs avec son crâne que celui-ci c’était fendue… Oui, la folie l’avait attrapé dans sa toile mais son intelligence l’avait brûlé, purement et simplement. Toujours était-il que pour l’enlever, il devait s’introduire dans l’antichambre –normalement pleine de personnel, vu que cela était leur salle de repos, et voler la clef qui permettait d’ouvrir le cadenas scellé à l’arrière de son crâne. Mais encore une fois une chose clochait. Il n’y avait personne dans la salle et encore personne lorsqu’il ouvrit le masque.
Il n’en perdit pas pied en enlevant le masque qui lui couvrait le visage depuis la naissance. Son esprit était bien trop préoccupé par l’inhabituel déroulement des choses et cette salle était plongée dans une semi obscurité assez claire pour lui. Mais une odeur l’attira vers les étages supérieurs. Une odeur de sang Montant rapidement les marches il arriva dans la salle principale. Il ferma les yeux, la lumière du soleil trop puissante pour ses yeux. Mais l’odeur du liquide carmin lui titilla les narines et il avança. Il trébucha et tomba sur quelque chose de mou. Luttant contre l’envie de laissé ses yeux fermés –en effet, son corps était imprimé de la douleur du soleil, et se retrouva nez à nez avec un mort… Un poussa un grondement aigu qui ressemblait fortement à un cri et se releva, ne voyant partout que des cadavres, la vingtaine des personnes composant sa famille étant étendues par terre, mort. Il réalisa alors qu’il n’aurait jamais sa vengeance.
« NAAAAN ! NAAAN ET NAAAAN! MA VAN-GANGE!LA MIENNE! "
Sa prononciation était véritablement un déchirement pour les amoureux de la syntaxe et de la langue...
Chapitre 4 : Voyage voyage :
Le sable. Fines particules jaunâtre et chaude. Il est beau, d’en voir,car l'on sait que l'on pourra passer de bons moments à gambader, jouer et profiter du spectacle qu'il nous donne sans contre partie... Dans la plupart des cas. Et pourtant, perdu au milieu de nuls parts, le silence pour seul compagnon, le petit garçon vêtu de haillons a tout sauf envie de se délecter du rideau blanc qui tombait sans discontinuer depuis des heures. Le paysage lui semble tout, sauf accueillant, cette espèce de lande gelée et dont on ne voit pas le bout ne le rassure pas... Et le vide qui se creuse petit à petit dans son estomac n'en ajoute pas à son extase. Comme un ver intraitable, le désespoir le prend petit à petit, le rongeant de l'intérieur, lui faisant perdre des forces, le faisant haleter comme un animal blessé... Petite tête blonde aux cheveux mal coupés au niveau de ses coudes, aux habits trop grands pour lui, sales comme s'ils sortaient d'un égout, rêches comme s'il s'agissait d'une planche de bois. Ses yeux froids et éteints parcours encore une fois la vue qui s'offre à lui, ne discernant que mort et souffrances à chaque tournants, derrière chaque « dunes » enneigées. Il ne savait pas ou il allait, il ne savait même pas ce qu'il cherchait, depuis sa seul raison de vivre éteinte, il avait marché, encore et toujours, mettre un pied derrière l'autre, ses pieds nue sur le sol glacé. Pour s'effondrer face contre terre.
Encore fragile de sa captivité, ses muscles étaient atrophiés, sa peau même semblait maigre et ses os aussi fragile que le verre. Et pourtant, il avait parcourut plusieurs kilomètres avant de ne plus pouvoir avancer, seul sa volonté le maintenant droit contre les vents dont il peinait à se protéger. Dans ce désert, il n'y avait ni grotte, ni rochers pour s'abriter, il devait faire avec les vagues collines que lui proposait la typographie de la région. Et malgré ça, ce fût la volonté qui le maintint en vie, consumant son essence, le brûlant de l'intérieur, ce désir amer de retrouver celui qui lui avait volé son existence... Et de lui demander pourquoi…
Epilogue :
« La vie n’a toujours était que malheur et désespoir, et il faut que tout le monde endure les même souffrance au moins une fois dans sa vie. »
Ses yeux avaient finis par s’adaptés à la lumière du soleil. Il était beau, avec ses vieux vêtements usés par le temps et ses cheveux qui laissaient à penser qu’il était une femme. Après encore de longue heure de marche, il arriva dans un village nommé Suna, se situant en plein désert, composé de bon nombre de bâtiments, de commerce en tout genre,... Lui n’était pas habitué à tout ça, marchait dans les allées, tout en sentant les regards des gens sur lui. Il s’arrêta devant un bâtiment orné d’une inscription : « coiffeur ». Après murs réflexion, il entra et rapidement, quelqu’un lui proposa de s’asseoir et de patienter. Il le fit et attendit, pourtant chaque seconde à ne rien faire était devenus pour lui un vrai supplice digne d’une écartelassions. Puis vint un homme qui le fit s’asseoir sur une autre chaise et qui lui demanda comment il voulait voir ses cheveux. Aizen ne répondant pas, le coiffeur alla lui chercher un catalogue et lui demanda de choisir une des coiffures. Aizen en choisis une au hasard et le coiffeur s’exécuta. Après ceci, il avait les cheveux mi-court, bleu, se qui lui allait tout de même mieux que ses long cheveux blond. Mais, vint le moment de payer. Ne connaissant même pas la signification du mot « argent » Aizen se fut jeté dehors, accompagnée de quelques menace. Encore une fois, il se faisait rejeté, chose qui avait pour seul effet d’augmenter sa haine envers le peuple. De fils-en aiguille, Jason trouva du travail et gagna quelques pièce, qui lui permirent de se relooké et de se loger. Il intégra l’académie des ninjas, car il avait entendu des discussions comme quoi les ninjas étaient les personnes les plus puissantes qui existent sur notre petite planète. Rapidement, il devint Genin, et passa avec succès ses examens de Chuunin. Mais cela ne lui suffisait pas, il devait être l’homme le plus puissant, pour pouvoir écrasé tout le monde, et enfin se venger de toutes les souffrances qu’il avait enduré… | |
| | | Ayane Geko
Nombre de messages : 949 Date d'inscription : 18/03/2009 Age : 31
| Sujet: Re: Aizen Enoki {Terminer} Mer 5 Aoû - 15:00 | |
| Bon, ben ça me va je te mets Juunin vu que ta présentation est très bien^^ | |
| | | | Aizen Enoki {Terminer} | |
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