Nawa Kazumi
Nombre de messages : 109 Date d'inscription : 11/11/2009 Age : 30 Localisation : Où que tu sois... Quoi que tu fasses... Je serai là... Derrière-toi... Pour te tuer.
| Sujet: Présentation de Nawa Kasumi Dim 15 Nov - 22:34 | |
| Nom : Nawa Prénom : Kazumi Âge : Dix-sept ans Village : Anciennement Kiri, puis Akatsuki Grade Demandé : Hmmm… Aussi loin que me portera le vent. Orientation Sexuelle : Bisexuelle Description Physique :On compare souvent Kazumi à une poupée ; pas parce qu’elle ne témoigne pas la moindre expression – ce qui serait complètement faux vu que quand elle est en colère ou quand elle est joyeuse, ses traits son complètement différents. Parfois elle est tellement démonstrative dans ces moments-là qu’elle peut faire peur. Cette métaphore a été faite pour comparer ses similitudes à ces jouets aussi blancs qu’elle. Son teint est effectivement d’une pâleur affolante. Elle ressemble d’ailleurs à ces filles venues du froid. Peut-être est-ce là un dernier héritage de ses ancêtres. Ses cheveux se combinent parfaitement avec sa peau – ils sont opalescents. Comme pour rester dans ces nuances neigeuses, ses yeux sont eux aussi extrêmement clairs. Un gris vitreux teinté d’un peu de vert, mais elle ne possédait pas un regard ardent. Son visage quand à lui est plus long que large, n’étant excessif dans aucun des deux cas. Chaque trait a été précautionneusement dessiné pour garder sa pureté immaculée ; bien que ce ne soit qu’une apparence, elle semble réellement innocente.
Bien que l’on puisse penser – et c’est bien raisonné vu son caractère -, elle n’est pas extravagante. Sa nature est passablement discrète - elle n’aime pas s’afficher. La plupart du temps, elle ne porte que des habits très communs. Pas de jupe ultra courte ni de robe honteusement moulante, non. Elle porte évidemment ces deux types de vêtements, elle ne porte pas l’excessif. Bien sûr, de temps en temps elle met un ou deux hauts plus décolletés et un bas plus serré, mais ce n’est pas quelque chose qu’elle utilise quotidiennement. Elle ne se prend pas pour une pin-up super sexy et n’aime pas donner matière à fantasmer à de parfais inconnus. D’ailleurs elle trouve ridicule ce besoin de se sentir perpétuellement belle. C’est une des raisons, parmi tant d’autres, qui fait qu’elle ne se maquillera jamais. Elle préfère se montrer sous ses mauvais jours plutôt que de ce couvrir d’une poudre sensée la rendre plus jolie. Enfaite, ça ne fait qu’empirer son cas. Au moins, sa beauté est purement naturelle et elle ne la doit qu’à elle-même. Elle porte habituellement des bijoux pour la décorer un peu plus ; cependant elle n’a ni boucle d’oreille, ni piercing. Aucun tatoueur ne l’a également approchée jusqu’à ce jour.
Noir, cobalt et jade sont les couleurs qu’elle use fréquemment. Parfois, pour une occasion spéciale, elle peut vêtir de l’argent, mais elle préfère éviter. Les autres couleurs donnent plus de tonalité à son être, à vrai dire en les portant elle cherche une certaine contraste – sauf pour la couleur de jade qui se marie avec ses yeux et lui donne un air angélique. En faisant cela, elle se donne plus de vitalité et anime ainsi donc sa silhouette normalement dénuée de chaleur.
Pour finir, il faut parler de son physique en sa grande généralité. Elle est relativement petite pour une fille de son âge – elle ne mesure qu’un mètre soixante-et-un. Bien risible, mais pourtant cette Kunoichi cache, derrière son air frêle, une force brute assez impressionnante. Car pour tout avouer, c’est une adepte du combat au corps-à-corps. Sa silhouette fine est bien trompeuse de ce côté-là. Elle a une puissance de frappe assez élevée pour une femme – bien sûr, elle ne peut pas rivaliser avec un homme aux mille-et-un biceps, elle ne reste pas moins une adversaire redoutable. Mais contrairement à ceux-là, elle excelle au niveau de la vitesse de l’agilité – chose essentielle pour un combattant. Aussi, elle a été gâtée en tant que demoiselle pour ça. Elle n’a pas une poitrine gigantesque qui l’empêcherait de bien se mouvoir – ne vous trompez pas, elle en a bien une, mais dans la norme. Ses fesses quant à elles sont aussi relativement petites – bien qu’assez rondes en elles-mêmes. Depuis qu’elle a rejoint l’Akatsuki, elle est obligée de se couvrir de leur long manteau noir avec des motifs de nuage rouge. Celui-ci lui arrive jusqu’à la cheville et ne laisse voir que ses pieds cachés par la couche de cuir de ses bottes qui lui montent jusqu’au genou. Elle porte également une paire de mitaine sombre qu’elle ne lâche pour rien au monde. Elles sont faites de la même matière que ses chaussures – elles sont ainsi résistantes et protectrices en combat – ce qui lui est bien utile d’ailleurs. Deux ou trois bagues trainent dans chacune de ses mains, dont une est la marque de son entrée à l’Organisation. Description Mentale :
Contrairement aux monstres assoiffés de sang, avides de meurtres et de cris suppliants, Kazumi aime la paix. On peut dire qu’elle est très différente de ses compagnons de l’Akatsuki. Elle est la fleur douce et tendre incarnée. Guerre, combat, ça lui dit pas grand-chose. Ce n’est pas non plus une fille qui cherche le pouvoir et le savoir par tous les moyens. Alors, qu’est-elle ? Une lunatique. S’il y a quelque chose au monde qu’elle écoute, c’est bien ses impulsions, quoi qu’elles soient. Quand elle a entendu parler d’une organisation adverse qui commençait à devenir de plus en plus puissante, elle n’a fait que suivre son instinct et aller vers elle. Quitter Kiri ? Devenir une nukenin recherchée par son propre village ? Ca lui était presque autant égal que de savoir combien il y avait de goutes d’eau dans l’océan. A vrai dire, elle n’était pas spécialement attachée aux humains. Car oui, elle ne se considère pas comme faisant partie de ces êtres primitifs. Cependant, elle ressent quand même quelques sentiments. A de rares occasions, certes. En réalité, ce n’est pas qu’elle est insensible, juste qu’elle préfère éviter d’être trop démonstrative. Après tout, n’était-ce pas là une preuve de faiblesse ? Ou en était-ce une de ne rien transparaitre ? Encore une des nombreuses questions qu’elle aime se poser. Elle peut passer des heures entières à se questionner sur la vie. Bien souvent, en essayant de chercher une réponse, elle ne fait que trouver encore plus de question. La vie elle-même est une énigme. Presque autant que ce qui trotte dans sa tête. Son raisonnement est d’une complexité aberrante. Rares sont ceux qui arrivent à la suivre. Elle passe d’un sujet simple à syllogisme suivit d’une réfutation où elle prend plaisir vicieux à démonter tous les arguments de survivants qui ont réussit à la suivre.
Cela, bien entendu, ne fait pas d’elle une philosophe, loin de là. Ce qui l’intrigue, ce sont les énigmes dont adore discuter. Mais elle est moins bien compliquée qu’elle en a l’air. D’ailleurs, elle a les habitudes les plus rependues chez les humains ; manger, boire et s’amuser. Si elle pouvait, elle ne ferait que ça. C’est assez dur de la cadrer ; elle ne pense qu’à elle-même. Pour ça, elle a besoin d’une main ferme qui la tienne en place, sinon, on la retrouverait bien trop souvent effondrée à terre, non loin d’un bar. Si elle suit les ordres, elle se tient tout à fait convenablement et agit comme toute autre fille de son âge devrait le faire. Pour ça, l’Akatsuki était douée. Son chef, un homme mystérieux et autoritaire, l’impressionnait. Elle ne pouvait que lui prêter obéissance et sagesse – elle sait bien qu’il ne tolère pas les réfractaires. Bien qu’elle ait un côté assez masochiste, elle ne tenait pas à subir les châtiments réservés aux insoumis. Elle sentait que la sanction serait un supplice aux limites de la torture.
En parlant de son côté masochiste assez restreint, il faut savoir que si on la blesse, de quelque manière qu’il soit, qu’elle rend la pareille. Oui, elle est aussi sadique. Généralement, elle le fait pour le plaisir réciproque, mais malheureusement ce n’est pas toujours le cas. Si on l’offense, elle ne se laisse pas faire et fait deux fois pire. Car pour être rancunière, elle l’est ! Derrière son doux visage tendre et aimant se cache une violence sans limite envers quiconque oserait défier ses règles. Le combat ne fait pas partie de ses hobbys, certes, mais ca ne l’empêche pas de devenir une furie quand on désobéit à ses préceptes. Même avec un sourire chaleureux qui cadre si bien l’image d’une gentillesse infinie, elle n’attend que le faux pas pour vous égorger vif.
Dérangée ? Sans aucun doute. Elle sort de la norme. Rien qu’en voyant ça, vous pouvez vous dire qu’elle n’est pas comme les autres. Il nous reste, cependant, un dernier trait important de son caractère à aborder. Si vous êtes jeune, innocent et que vous tenez à rester chaste, vous êtes prié de ne pas lire ce qui va suivre.
Il y a peu de choses que Kazumi n’a pas encore testé sexuellement parlant. Masturbation, fellation, cunnilingus, 69, branlette (thaïlandaise également), le missionnaire, l’Andromaque, l’Amazone, la levrette, l’équerre, le compas, l’union du lotus, l’union de l’aigle, la petite cuillère, la grenouille, la brouette, la balançoire, l’indolent, la berceuse, le culbute, les rameurs, la tigresse, l’acrobate… Et d’autres encore, les ayant essayés par devant et par derrière, avec un ou plusieurs partenaires. Homme ou femme, peut lui importe. Maintenant qu’ils avaient inventés de nouveaux joujous, même les filles pouvaient réellement faire l’amour entre elles. Il fallait dire aussi qu’elle s’en privait pas le moins du monde. Bien qu’elle ait eu plus de partenaires mâles, elle aimait tout aussi bien les femmes. Du moment qu’ils/elles n’étaient pas trop repoussant(e)s, elle prenait de tout et n’importe où. Bien sur, quand elle était dans une relation « sérieuse », elle ne se contentait plus que de son/sa chéri/e. A première vue, elle peut paraître dévergondée, mais elle aime juste s’amuser sans forcement penser au lendemain ni aux conséquences. Enfaite, lorsqu’elle éprouve plus qu’une envie sexuelle, c’est une amante fidèle qui peut faire preuve de romantisme.
Histoire : « Nawa » n’est pas un nom très commun dans au Pays de l’Eau. Il ne vient effectivement pas de là. La famille vient d’une ancienne lignée de guerrier de Yuki, car pour être honnête, il n’y a pas de vrais Ninjas dans ce pays-là. Bien que ça remonte il y deux ou trois générations, on peut toutefois remarquer quelques marques physiques inhabituelles ou des traditions inédites.
Ses parents étaient des shinobis de classe moyenne. Ils n’étaient ni de fins stratèges, ni des brutes en combat. Bref, ils étaient ordinaires. Ce qui les séparait des autres, c’était leur aptitude à inaugurer de nouvelles techniques, quelques peu inutiles en combat, certes. En vérité, ils s’intéressaient beaucoup à d’anciens mythes et courraient après une chimère – au dépit de certains villageois qui les prenaient pour des fous. Plus ils avançaient dans leurs recherches, plus un nouveau besoin se faisait voir – celui de cobayes. C’est de là que vint leur idée d’avoir un enfant. Ils en eurent deux.
La première était une fille à la peau de porcelaine ; son teint fragile en donnait des vertiges. Le deuxième était un garçon – il avait un peu plus de couleurs sur son visage, mais il était trop ravissant pour qu’ils osent le toucher. A vrai dire, ils n’eurent pas le courage de les utiliser – l’amour parental était bel et bien présent en eux. Ils continuèrent leurs recherches sans pour autant les concrétiser - ce n’était plus leur centre d’intérêt ; ils avaient trouvé des joies dans des choses banales, ils étaient heureux. Seulement, ça ne dura pas très longtemps. Après trois ans, ils décédèrent sans aucune raison valable – aucun diagnostique n’avait pu être établi. « Hybris ! » murmuraient certains ; « C’est un coup des Moires ! » disaient d’autres. Peut-être avaient-ils cherché trop loin et avaient découvert ce qu’il aurait mieux valu laisser enterré – personne ne le sait, personne ne s’en soucie vraiment.
Ainsi, les jumeaux furent séparés. Ils ne se retrouvèrent jamais – en tout cas, Kazumi ne l’a jamais tenté. Elle fut d’abord placée dans une maison d’accueil, puis elle fut adoptée. C’était une famille de bourge dont elle était l’enfant unique – ils avaient été incapables d’en concevoir un. Elle y passa de longues et belles années. On ne lui cacha jamais rien – elle n’était pas leur vraie fille mais ils la traitaient tout comme. Ils n’étaient pas dérangés si elle leur posait des questions – même si ça n’était arrivé que deux fois. Kazumi hérita de la moitié de tout ce que ses parents biologiques avaient possédé ; la plus part c’était des livres scientifiques et des notes griffonnées dans un cahier, mais ça lui plaisait.
A quinze ans et demi, elle obtint un appartement pour elle en ville ; ils l’avaient jugée assez mature pour pouvoir prendre son envol. Ce fut là leur unique erreur. L’adolescente se débrouillait bien et s’était facilement adaptée à la vie d’adulte – on sait bien comment ça va finir. A ses dix-sept ans, le jour de la dernière épreuve des Genin – examen qu’elle avait brillamment réussi quelques années auparavant -, elle décida qu’il était temps pour elle de changer d’air et de faire ce qu’elle sentait bon pour elle. La jeune fille déserta le village sans la moindre hésitation ni le moindre remord. Le jour avait d’ailleurs été très bien choisi – les autorités Kiriennes étaient rassemblées dans la grande arène ; soit pour encourager leurs enfants, soit pour surveiller le tournoi. Quoi qu’il en soit, elle réussit à passer les portes sans aucun problème. Dans son esprit, son but était clair : Rejoindre l’Akatsuki.
_____________________________________ Comment avez-vous connu le forum ? Par Tobi ^^ Première impression : Hmmmm… Joli design ? x3 Autre :Gnagnagna… Tu poses trop de questions u_u’
Dernière édition par Nawa Kazumi le Ven 27 Nov - 22:55, édité 4 fois | |
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